« Une ode puissante à la vie. » Télérama
« Drôle, sensible, courageux. » RTL
« Une pulsion de vie. » Les Inrocks
« Un spectacle qui met du baume au cœur. » Vanity Fair
mar 17 juin 20h30
Le Dôme, Saumur
1h15
13 à 36 €
Metteur en scène
Théo Askolovitch
Seul en scène, un jeune homme raconte, jour après jour, le cancer qui l’a envoyé à l’hôpital. Il rit pour faire semblant de ne pas avoir peur, il parle trop fort pour dompter sa colère. Pourquoi lui ?
Il rudoie sa famille mais la garde tard le soir. Il se souvient de sa mère qu’une maladie lui a pris quand il avait quatorze ans. Il pense aux pièces qu’il voudrait encore jouer. Il espère qu’une victoire de l’équipe de France en coupe du monde le soignera aussi bien que ses chimiothérapies. Il est drôle, quand il ne pleure pas.
Ce texte m’a été inspiré par une maladie qui m’a touchée il y a deux ans. Ce n’est pas une autobiographie, c’est une pièce de théâtre, un exutoire.
En 2018, j’ai donc appris que j’avais un cancer. S’en est suivi quelques mois de traitement, d’inquiétudes, de combats, de doutes, de pleurs, de rires, d’amour et enfin de soulagement.
J’ai tout de suite su que je voudrai un jour en parler. Ce qui m’importait c’était non pas de parler uniquement de la maladie, mais de ce chemin, de cette traversée. Ce qui importe, c’est le chemin.
Je ne cherche pas dans ce spectacle à parler de moi, pour me soulager de quelque épreuve, ni faire une psychothérapie. Je cherche à travers ce récit, en se servant du « je » à parler de « nous ». Je crois que si on se raconte, on raconte le monde.
L’hôpital et le cancer ne sont qu’un cadre. Dans ce texte, je parle de mon rapport à la maladie et à la mort, bien-sûr, mais je parle aussi de la famille, du deuil, de l’amour, de passion, de football, de théâtre et de la vie.
Je me suis rendu compte que j’aime quand un artiste se livre, quand il parle de lui avec générosité et que l’on peut se reconnaître en lui, ou que l’on s’identifie avec ce qu’il raconte.
Théo Askolovitch
De Théo Askolovitch
Mise en scène Théo Askolovitch
Avec Théo Askolovitch
Collaboration artistique François Rollin et Ludmilla Dabo
Créateur lumière Nicolas Bordes
Production KI M’AIME ME SUIVE
Avec le soutien de Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines, Comédie de Caen – CDN de Normandie, Théâtre la flèche, Théâtre de Suresnes
« Une ode puissante à la vie. » Télérama
« Drôle, sensible, courageux. » RTL
« Une pulsion de vie. » Les Inrocks
« Un spectacle qui met du baume au cœur. » Vanity Fair