Le spectacle
Le comédien vient glisser ses poèmes libertaires favoris dans les magnifiques orchestrations que l’accordéoniste a faites de la musique de Piazzolla. Vous y retrouverez entre autres les vers de Jacques Prévert (Tant bien que mal, Le Grand Homme…), ceux de Boris Vian dans son poème Je voudrais pas crever ou encore Mon p’tit Lou de Guillaume Apollinaire.
Le compositeur argentin Piazzolla, a transcendé le tango pour léguer une œuvre intemporelle.
Daniel Mille nous fait redécouvrir toute l’humanité de cette musique à la fois savante et populaire, dans une instrumentation sublimée par la sensualité des cordes.
Ce qu’en dit la presse
« Un timbre de voix reconnaissable au premier vers et des notes folles qui subliment le tempo et la prose. » France Inter
« Un « Monstre Sacré », comédien et un virtuose, musicien accordéoniste, accompagné d’un quatuor à cordes, nous enchantent et nous entrainent dans un monde poétique, poignant et vibrant…. » LDS Magazine
Textes de
Jules Laforgue
Allain Leprest
Leopold Sédar Senghor
Jacques Prévert
Boris Vian
Raymond Carver
Gaston Miron
Robert Desnos
Guillaume Apollinaire
Paul Cluzet
Gérard Macé
Poésie dite par
Jean-Louis Trintignant
Sur une musique de
Astor Piazzola
Accordéon
Daniel Mille
Violoncelle
Grégoire Korniluk
Violoncelle
Paul Colomb
Violoncelle (en alternance) Frédéric Deville
Jérôme Huille
Contrebasse
Diego Imbert
Arrangements
Samuel Strouk
Mise en lumière
Orazio Trotta
Assisté de
Gaëtan Lajoye
Mise en son
Tristan Devaux
Scénographie
Orazio Trotta
Mise en espace
Alexandre Vernerey